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SE TROUVER AU JOUR FIXÉ POUR PRONONCER SUR L'AFFAIRE ENTRE LE DUC DE BRABANT ET LE COMTE DE GUELDRE, IL CHARGE LE DOTEN DE FLO1RIÑS DE LE NOTIFIER AUX PROCUREURS DES PARTIES. 15 DÉ DÉCEMBRE 1288.

!(ous Guillaumes par le graue de Dieu, eveske de Cambrai, desieres et ordeneres de tous debas, de le were et de tous contens, ki ont esteit et aunt encore entre noubles princbes Jeban, par le graese de Dieu docb de Lotbier et de Brabant, les siens, aes sidans, et aes aloiies dune part, et Renaut, conte de Gbctre,les siena, aes uidana et ses aloiies dautre part; fai- sona savoir a tous cbiaus ki ces lettres veront et oront, ke come nous eussiemes iour asseneit as dites parties a ce dioes (mercredi) apres le feste suinte Lusae, dedans eure de midie, par devant nous aRebingnies, pour oir et recbevoir et mettre en oeure no dit et no ordenanne en tout u en partie, aelonc ce ke boin nous santera, nous pour lenpeecbement de no propre cors ne poons estre en nule manire a le dite iourne pour aleir avant en le besoigne devant dite, si melons en liu de nous sengneur Pieran doieu de Floirinspour denoncbier as dites parties ou a leurs procureurs, de par nous et en no non, no enpeecbement devant dit, le queil eupeecbement nous avons denoncbiet as procureurs le dit conte de Gbetre et volons encore ke denoncbiet lou soit, sil sunt au jour et au liu devant dis; en tesmoingnage desquels cboses nous avons ces Ictres ssielees de no esicl, ki furent donnees en lan de grasse ИМ deux cens qustre vins et wit, le merkedi apres le feste suinte Lusse.

Cojtié sur l'original, muni du sccau de l'Évêgue, aux arcbives de la Gueldrc.